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Lundi 23 février 2015
Conseil municipal, à partir de 18h30 en Mairie, Salle Montgolfier.
Nos valeurs | PS - Parti socialiste « Être socialiste, c’est ne pas se satisfaire du monde tel qu’il est, c’est vouloir changer la société. L’idée socialiste relève, à la fois, d’une révolte contre les injustices et du combat pour une vie meilleure. Le but de l’action socialiste est l’émancipation complète de la personne humaine. » Article 1 de la déclaration de principe du Parti socialiste.
Le 23 septembre nous étions près de 3 millions dans la rue pour défendre une réforme des retraites juste, efficace et durable. Le samedi 2 octobre, le PS appelle à manifester partout en France. Ensemble, nous pouvons faire reculer le gouvernement !
Cette manifestation, doit permettre de nous rassembler encore plus nombreux.
Aujourd’hui, en séance à l'Assemblée Nationale concernant l'indépendance de la justice, Olivier Dussopt a interrogé la Ministre de la Justice suite aux déclarations du procureur auprès de la cour de cassation, Jean-Yves Nadal, demandant que l'on confie l'enquête sur l'affaire Woerth/Bettencourt à un magistrat indépendant, et à la fin de non recevoir du Procureur de Nanterre, Philippe Courroye.
Le nombre de demandeurs d’emploi inscrit à Pôle emploi de catégorie A a augmenté au mois d'août de plus de 15.900. Depuis un an, ce sont près de 125.000 Français qui se sont inscrits au Pôle emploi.
Ces chiffres montrent que la France est loin d’être sur la voie de la sortie de la crise. Ils constituent un démenti cinglant aux déclarations triomphalistes de Christine Lagarde qui prétendait que la crise était derrière nous.
Malgré ces satisfecits inopportuns et déplacés que ne cesse de se décerner le gouvernement, malgré les mensonges répétés sur le fait que la France s'en sort mieux que ses voisins, la réalité des chiffres est implacable : le gouvernement a échoué à relancer l'économie et l'emploi en France, alors que d’autres y sont parvenus.
Ces chiffres n'ont rien de surprenant au regard de la politique destructrice d'emploi que le gouvernement mène depuis maintenant trois ans : absence de véritable relance de l'économie, détaxation des heures supplémentaires, politique d'austérité massive qui gèle le retour de la croissance. La responsabilité du gouvernement est claire.
Notons aussi que sur un an, le chômage des plus de 50 ans a augmenté de 16,6 %, soit presque le double de la moyenne nationale. Ce seul chiffre souligne le caractère socialement injuste et économiquement absurde du projet de réforme des retraites.
Le 23 septembre, aux côtés des organisations syndicales, les socialistes étaient mobilisés, afin de se battre pour une réforme des retraites juste, efficace et durable. Vous étiez près de 3 millions dans la rue pour défendre une réforme des retraites juste, équitable et efficace.
Environ 4500 manifestants à Annonay, 5000 au Péage de Roussillon.
Ensemble, nous pouvons faire reculer le gouvernement !
Pour faire suite à la mobilisation anti-retraites de jeudi, le PS appelle à manifester partout en France le samedi 2 octobre.
Le Gouvernement s'apprêterait à annoncer de nouveaux déremboursements concernant la santé des Français. Dans le cadre du projet de loi de financement de la sécurité sociale, devraient figurer de nouveaux déremboursements de médicaments ainsi que la baisse de la prise en charge des consultations des professionnels de santé (médecins, infirmières...) et de certains actes réalisés à l'hôpital. Cette politique se situe dans le droit fil de ce que fait la droite depuis des années, sans aucun autre résultat que d'amener un nombre croissant de Français à retarder ou renoncer à des soins. Alors que cette politique de déremboursements a démontré son inefficacité pour la nécessaire régulation des dépenses de santé, elle poursuit le lent mais sûr rétrécissement de la prise en charge solidaire au profit des complémentaires et des assurances privées. Cette politique pénalise directement les Français modestes et les classes moyennes, qui ont déjà vu augmenter de 50 % le coût direct de la santé au cours des dernières années.
Après la mise en place d'une réforme des retraites injuste et inefficace financièrement, le Gouvernement poursuit son travail de sape du pacte social solidaire.
Aujourd'hui le projet du gouvernement pour les retraites a été voté à l'Assemblée nationale. Cette journée a illustré par l'exemple et jusqu'à l'absurde la dérive autoritaire de l'actuelle majorité.
Mercredi, 10 heures: Bernard Accoyer s'asseoit sur le règlement qu'il a lui même mis en place.
Après une nuit entière de débat sur le projet du gouvernement sur les retraites, Bernard Accoyer, le président UMP de l'Assemblée nationale a décidé de «s'asseoir» sur le règlement qu'il a lui même fait voter, en suspendant la séance.
En effet, l'opposition a eu recours à l'article 49-13 du règlement, introduit en 2009 par le député UMP du Vaucluse, Thierry Mariani. Le principe: chaque député qui le souhaite, peut obtenir 5 minutes d'explications de vote afin de retarder le scrutin final. Mercredi matin, Bernard Accoyer s'est vu saisi de 166 demandes d'explications de vote, soit 13h50 de débat supplémentaires.
Mais, arguant par principe que ces interventions ne relèvent que de «l'obstruction», Bernar Accoyer décide de lever la séance, sans prendre la peine d'écouter les explications de votes des élus socialistes.
Les députés socialistes appellent à la démission de Bernard Accoyer
Le patron des députés socialistes, Jean-Marc Ayrault, a formellement réclamé la démission de Bernard Accoyer, et a en outre accusé ce dernier d'agir sur ordre du président Nicolas Sarkozy.
Lors du débat essentiel portant sur la réforme des retraites, le président de l’Assemblée nationale s’est rendu coupable ce matin de forfaiture», précisent-ils. «Tout vient de l'Elysée. C'est Monsieur Sarkozy qui est le responsable de tout cela. Bernard Accoyer s'est comporté comme un chef de clan», a noté Jean-Marc Ayrault.
La réforme des retraites votée sans débat
A l'ouverture de la séance à 15 heures, ce mercredi 15 septembre, Jean-Marc Ayrault a pris la parole et a rappelé que le président de l'Assemblée avait «interdit la tribune à 142 députés de la nation». Le président des députés socialistes a également indiqué que le PS n'acceptait pas que «95% de la réforme des retraites repose sur les classes populaires et moyennes».
Pour répondre aux attaques de tentation d'obstruction de la part de la gauche, le député et maire de Nantes a signifié qu'il n'y avait pas eu d'obstruction, surtout pour «un débat réduit à 20 heures de temps de parole pour l'opposition». Et pour cause, là où un pays comme la Suède a négocié pendant 10 ans, la droite fait passer sa réforme en... 70 heures de débat parlementaire.
A 15h50, le projet de loi de réforme des retraites a finalement été adopté à l'Assemblée nationale à 329 voix contre 233.
La mobilisation de la gauche continuera au Sénat et rendez-vous dans la rue le 23 septembre !
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