Pour tout renseignements contacter le trésorier de l'association : 07 81 59 10 66.
Pour un meilleur suivi des cotisations, il est préférable de s'adresser directement à la section.
Lundi 23 février 2015
Conseil municipal, à partir de 18h30 en Mairie, Salle Montgolfier.
Nos valeurs | PS - Parti socialiste « Être socialiste, c’est ne pas se satisfaire du monde tel qu’il est, c’est vouloir changer la société. L’idée socialiste relève, à la fois, d’une révolte contre les injustices et du combat pour une vie meilleure. Le but de l’action socialiste est l’émancipation complète de la personne humaine. » Article 1 de la déclaration de principe du Parti socialiste.
Pour réduire les inégalités de revenus, il est possible de jouer sur deux leviers. Le premier porte sur les revenus d'activité et du patrimoine, le second relève du système de redistribution, via les prestations sociales et les prélèvements.
Des riches plus riches, des pauvres plus pauvres. C'est ce qui ressort clairement de l'évolution des niveaux de vie (*) entre 2002 et 2009. Alors que les inégalités avaient plutôt eu tendance à diminuer lentement jusqu'en 2002, elles ont recommencé à s'accentuer depuis. Ainsi,
Le 15 avril à partir de 12 heures 30, un grand rassemblement festif pour le changement avec François Hollande est organisé, sur l'esplanade du Château de Vincennes.
Venez nombreux, invitez vos amis, votre famille, vos proches, vos collègues, vos voisins !
- Des animations seront en place à partir de 12 heures 30 : ateliers pour les enfants, chapiteau du Mouvement des Jeunes Socialistes (MJS), fanfare, stands pour déjeuner ;
- Dès 13 heures, des groupes musicaux seront sur scène : le groupe Le Bal puis Jacob Desvarieux, du groupe Kassav', et ses musiciens ;
- Puis Bertrand Delanoë prendra la parole suivi d'un grand discours de François Hollande.
Nicolas Sarkozy avait chargé Gérard Larcher l'ancien président du Sénat d'un rapport sur la formation. Or sa présentation à la presse a été annulée pour cause de divergences profondes avec les idées du Président candidat !
En février 2012, Nicolas Sarkozy fidèle à son adage : « les droits ne vont pas sans devoirs » proposait, afin de lutter contre le chômage, de soumettre à référendum l'obligation pour les chômeurs de suivre une formation qualifiante, puis d'accepter la première offre d'emploi correspondant au métier pour lequel il aura été nouvellement formé.
Bien que, faisait remarquer le blog Question(s) Sociale(s) les contours de cette obligations soient mal définis puisque : « (...) définie par un mystérieux "comité national" (?) qui, avec des chefs d'entreprise et des syndicalistes, identifiera les secteurs d'avenir créateurs d'emplois (...) » et que de nombreuses voix s'élevaient pour expliquer que la formation n'est pas la panacée contre le chômage, l'idée continuait de faire son chemin, tant dans le discours du Président candidat que dans celui de l'UMP.
Dans la foulée, Nicolas Sarkozy chargeait Gérard Larcher l'ancien Président UMP du Sénat, d'un rapport : « (...) sur une refonte « radicale » de la formation professionnelle, en vue de réorienter vers les chômeurs une partie des 30 milliards dépensés chaque année (...) »
Rapport qui a été remis le 6 avril dernier à Nicolas Sarkozy et qui porte le nom de : « La formation professionnelle : clé pour l'emploi et la compétitivité »
Et là, surprise : La présentation à la presse a été annulée !
Selon le secrétaire général de l'Association des journalistes de l'information sociale (Ajis) devant laquelle devait être présenté le rapport : « cette annulation serait due à un désaccord entre Gérard Larcher et le chef de l’État sur les mesures préconisées »
La Gazette des Communes nous donne quelques explications sur cet escamotage médiatique
« (...) le rapport Larcher ne reprend pas du tout les principales propositions du candidat Nicolas Sarkozy pour un éventuel prochain mandat (...) Gérard Larcher n’évoque à aucun moment la question d’un référendum sur l’indemnisation et la formation des demandeurs d’emploi. Il ne propose pas non plus d’obliger ces derniers à accepter une offre d’emploi après avoir suivi une formation (...) Personne ne doit être pénalisé si une formation dûment suivie ne débouche pas sur un emploi faute d’emploi effectivement disponible (...) L’ancien président du Sénat ne semble pas non plus penser que la formation soit la solution miracle face au chômage (...) »
Bilan : « le sénateur prône simplement « une meilleure coordination des acteurs » et « une simplification des structures »… Et la Gazette des Communes de conclure : « Nul ne sait ce que va devenir cet énième rapport. Mais tout ça pour ça… »
En clair, une proposition mal fagotée, ayant abouti à une perte de temps pour plus de 5 millions de personnes inscrites à Pôle Emploi, qui, s'ils elles ont échappé provisoirement à un dispositif incohérent, n'ont toujours pas de solution en vue à court ou moyen terme.
Chapeau les artistes conseillers du « Président courageux et qui protège » !
Nicolas Sarkozy a finalement admis, ce vendredi matin, ne s’être jamais rendu à Fukushima avec sa ministre de l’Ecologie, comme il le prétendait jusque-là. Interrogée par Rue89, Nathalie Kosciusko-Morizet admet que le président-candidat avait enjolivé son récit de voyage.
Le 6 avril, lors d’un meeting à Caen, Nicolas Sarkozy revenait sur les projets de François Hollande sur le nucléaire, et notamment la fermeture de la centrale de Fessenheim, en Alsace :
« Avec Nathalie Kosciusko-Morizet, nous avons été à Fukushima. Apparemment, François Hollande, non. Parce que s’il avait été à Fukushima se renseigner, il se serait rendu compte de ce qui s’est passé à Fukushima, c’est d’abord un tremblement de terre, ensuite un tsunami extravagant. [...] Alors j’avoue que j’ai eu du mal à suivre la logique de M. Hollande. Alors, je suis à Fukushima au Japon, et voilà qu’il s’abat sur Fessenheim ! »
NKM répondait justement ce vendredi matin aux questions de Rue89 et de ses riverains, au QG de Nicolas Sarkozy (cet entretien sera mis en ligne dans son intégralité en fin d’après-midi).
Elle reconnaît que Nicolas Sarkozy ne s’est jamais rendu à Fukushima (et elle non plus).
« Mais personne ne va à Fukushima ! Quand on dit “je vais à Fukushima, sur les lieux de l’accident”, c’est au plus proche des Japonais qui sont à ce moment-là dans la peine et la souffrance... Personne n’est allé à Fukushima. Fukushima, c’est une zone interdite [...]. C’est une espèce de fausse polémique comme ceux qui n’ont rien à dire en ont le secret. »
NKM sur le voyage de Sarkozy au Japon
Pas plus que Nicolas Sarkozy, Nathalie Kosciusko-Morizet ne s’est donc rendue à Fukushima, mais elle s’en est davantage approchée :
comme elle l’expliquait déjà début avril sur son blog, elle s’est approchée à « une quarantaine de kilomètres » de la centrale ;
Nicolas Sarkozy, à Tokyo, est resté à une distance de plus de 200 km de la zone de l’accident ;
il pourra toujours faire valoir que François Hollande, à Paris, se trouvait encore plus en sécurité, à plus de 9 500 km de Fukushima.
Nicolas Sarkozy a dû lui-même admettre, ce vendredi matin sur i>Télé, qu’il avait enjolivé son récit de voyage... mais en assurant à nouveau que sa ministre s’était bien rendue à Fukushima :
« Je ne suis pas ingénieur, je n’ai pas besoin d’aller mettre le nez dans la situation à Fukushima où par ailleurs il y avait un périmètre interdit. »
Sa mémoire lui joue décidément des tours :
Nicolas Sarkozy avait déjà raconté s’être rendu à Berlin dès le 9 novembre 1989 pour assister à la chute du mur : un décalage de 24 heures avec la réalité, qui modifiait la portée de son récit ;
pour dénoncer l’intolérance de la gauche, il a expliqué à plusieurs reprises avoir voté l’Acte unique européen voulu par François Mitterrand : un texte adopté en 1986, soit... deux ans avant que Nicolas Sarkozy devienne député.
Bruno Le Roux, un des porte-parole de François Hollande, s'est insurgé contre le fait que l'Elysée ait laissé une caméra de France 2 filmer le début de l'entretien, lors duquel Nicolas Sarkozy a dit à son homologue "nous gagnerons, Monsieur Obama, vous et moi, ensemble".
Selon lui, "cette nouvelle transgression est l'oeuvre désespérée d'un pouvoir à la dérive qui, une fois de plus, fait passer ses intérêts avant ceux de la France pour tenter de recrédibiliser un candidat à la peine". "Les images volées affaiblissent la crédibilité de la France à l'égard de l'administration américaine et de tous nos partenaires étrangers, mais l'UMP s'en moque éperdument. Elle préfère continuer à user de ficelles dignes des 'pieds nickelés'".
Mercredi 11 Avril s'est déroulé à l’Espace Agora de Guilherand Granges, le meeting de soutien à François Hollande en présence de Jean-Marc AYRAULT (Député-maire de Nantes et Président du groupe PS à l'Assemblée nationale), d’Olivier Dussopt et Pascal Terrasse (Députés de l’Ardèche), de Michel Teston et Yves Chastan (Sénateurs de l’Ardèche), de nombreux conseillers régionaux dont Valérie Malavieille (1ère Adjointe à St Peray), de Philippe Finiels (Premier secrétaire fédéral du PS en Ardèche) ainsi que de nombreux élus locaux, militants et sympathisants.
Devant plus de 250 personnes, Jean-Marc Ayrault, qui est par ailleurs conseiller spécial de François Hollande, nous à présenté les enjeux de l’élection présidentielle ainsi que les propositions de François Hollande (l'emploi des jeunes, la régulation de la finance, le redressement industriel, la renégociation des politiques européennes ou encore l'éducation...).
Les commentaires récents